28 août 2008
V3#J545-J548#8XI07-11XI07
Un autre aspect de la ville nous happe…
Forts de l’expérience paisible de l’année d’avant, nous nous installons dans nos habitudes.
Mais la fièvre nous embrume, et nos nuits sont martelées par le bruit des pétards de Deevali.
Dans cet état second, nous découvrons l’agressivité de la cité sacrée.
Tous se baignent et s’abreuvent dans ces eaux,
Sans cesse renouvelées par les rituels et les méditations des Sâdhus orange et jaunes.
Des mains du Gange, jaillit le pays sage.
Sur sa paume, flottent délicatement nos petites flammes.
Dans cette étendue sans limite, je nage…
Dans l’océan des reflets d’étoiles… Etincelantes…
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